La Tour

stephen mackey | ... pour les peintures glauques et donc fascinantes de Stephen MackeyTableau de Stephen Mackey

Qui de La Louange, la vie entière inspire,
Sur les bords de L’Eau douce, s’élèvent des nues
Aux couleurs de certains spasmes, qui de vos soupirs,
S’extasient lors que le jour ne s’achève plus.

De pluies bienfaisantes et de Soleils qui devancent
Nos éternelles émerveillements, voici La Tour.
D’Elle, magistrale, s’évanouit toute absence ;
Voyez Le Miracle : c’est là que Présence est Amour.

De Lui est Lumière et déploiement que l’on aime,
Lors qu’en La Nature nous gouvernent Ses Lois.
Vous dites : La Vie n’est jamais réellement extrême.

Un récit nous rapporte qu’un Prince d’autrefois,
D’avoir fait montre, envers sa Belle, d’irrévérence,
Lui valut à son tour de vivre la déchéance.

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