L’Or pur

Peinture de Franck Cadogan Cowper (1877-1958)

L’on ne voudrait aimer, mais aimer nous poursuit
Comme la Réalité de Son possesseur Souffle ;
L’on ne voudrait céder, encor abasourdi,
Plutôt nous défaire de l’emprise qui nous essouffle.

L’on voudrait ne pas résister face à Son Étreinte ;
L’on aimerait lui tourner le dos et s’enfuir.
Mais quoi ? Sa force vive nous marque de son Empreinte.
Avons-nous le choix face à Son ultime Désir ?

Quand je Le rencontrai, Amour devint ma Loi ;
Il fut certes impitoyable, mais Il fut si tendre.
Je Le servis nuit et jour et Il m’enseigna

Des Règles d’or qui fit de Lui encor m’éprendre.
Il se montrait  : Le Soleil devenait obscur,
Car du Soleil de L’Âme, rayonne L’Or le plus pur.

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