Le petit semainier

Le monde n’est pas perdu des balbutiements qu’il prononce et je vois celui qui ne trahit pas la présence, et sur les vagues, l’océan est l’impermanente vérité d’un jeu, tandis que le piano chante et sait observer, avec une telle acuité, et l’aigle de passer, tandis que nous amusent les corbeaux.

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               Dimanche

Le soleil a ses abondances,
Des rayonnements trop éclatants.
Nos pas cimentent le silence.
L’étourneau se tient hors du temps.

                Lundi

Je n’entends plus le bruit,
Je n’écoute plus les dissonances,
Je vis sans même l’armature d’une nuit,
Mais comme la profondeur est dense !

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