Attends-moi

A ma Mère et mon Père

Ferdinand Knab (1834-1902), Römische Villa bei Sonnenuntergang - 1890Peinture de Ferdinand Knab (1834-1902)

De L’invisibilité de La Paume,
Tenant La Rose, suave de Tes mots,
Des Oraisons perdues en La Nuit,
Des singulières extases encore écloses, nous voici en ce Jardin de la prose au sourire de Ta Lune. J’ai introduit sans aucune inquiétude nos pas mesurés de douceur. Depuis si longtemps, enserrés de Ta Plume, me suis encore avisée de toucher à L’Empreinte de la Brume, les perles de nos mains tissées en Tes heures. Sur le piano de Vie, lors que s’unissent nos souffles, le Jardin est tout entier de Toi et je n’ai pas hésité une seule seconde pour lancer ces feuilles immaculées de Ta Lumière, lors que je sais que Le Vent, parfois, annonce de tristes nouvelles, et je fuis, et je fuis, sans que rien ne veuille jamais me lier au passé. Qu’est-ce donc alors cette fois, si ce n’est en la mort advenue, ces mots qui disent : attends-moi !

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