Lors que tournoient les étoiles

Les paysages presque surréalistes photographiés par Ted Gore

Lors que tournoient les étoiles,
Que La Lune s’achemine vers le grand Jour,
Que tremblent les vents étonnés,
Puis que s’émeuvent les larmes,
Le Cœur n’est plus à se gouverner,
Ni L’Âme retenue en son Envolée.
Lors que les terres et les cieux se parlent,
Au Souvenir du corps hébété,
Lors que les mers entières fusionnent,
Que les arbres tendent leur offrande,
Que les oiseaux clament la beauté,
Puis frémissent les voiles de La Proximité,
Et que l’homme s’assoit à L’Aube des confidences,
Toute La Mention du Nommé est Présence, Présence, Présence…
Et La Nuit épouse Le Jour,
Et Le Jour épouse La Nuit,
En leur Lumière diaprée
Et Lui, soudain, de te dire : viens mon Bien-Aimé.

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